Antoine Berjeaut feat. Mike Ladd – Wasteland

13,50

Out of stock

SKU: Fresh Sound New Talent 450 Categories: ,

Description

Tracklist:
1. Slow Motion (Part I & II) - 7:03   2. High (Part I & II) - 9:39   3. Clouds - 6:23   4. Balcony - 5:22   5. Baroness - 5:45   6. Hornet - 3:10   7. Battle - 4:27   8. Volga to Mississipi - 5:16   9. Entract - 5:18   10. Nightshift - 4:59   11. J.D. - 2:55

All music written by Antoine Berjeaut, words by Mike Ladd

Personnel:
Antoine Berjeaut (trumpet, flugelhorn, fx), Mike Ladd (vocal, poetry), Jozef Dumoulin (keyboards, piano, fx), Stephane Kerecki (bass), and Fabrice Moreau (drums). Guest: Julien Lourau (tenor sax on #1,2,9 & 11).
Recorded & mixed by Seb Miglianico at Studio Davout, France, April 2013
Mastered by Hubert Salou at Studio Kashmir
Produced by Antoine Berjeaut
Executive producer: Jordi Pujol

Reviews:

1. Jazzmag - Frédéric Goaty 
"Aventurier discret de la trompette émancipée, Antoine Berjeaut aime le Jazz de Paul Motian, le Hip hop selon Madlib, et la musique éléctrocosmique de Flying Lotus. Pour son premier disque, moins que ses qualités de trompettiste, pourtant nombreuses (belle sonorité mate, culture de la note et de la phrase juste, refus de toute forme d’esbrouffe), c’est son univers qu’il nous invite à explorer. (…) Antoine Berjeaut, un authentique new talent à suivre de très près."

2. L'Humanité - Fara C. - 17 Mai, 2014
"Le trompettiste et compositeur Antoine Berjeaut fusionne, en son palpitant CD, Wasteland (terrain vague, désert), le souffle de sa trompette et de son âme avec l’inspiration foudroyante de Mike Ladd. Ce poète slameur puise en ses racines afro-américaines autant qu’en l’histoire mondiale. Ici, sa fiction évoque l’écrivain radical américano-jamaïcain Claude McKay (1889-1948), parti en URSS au congrès de l’Internationale communiste en 1924. Le jazz de Berjeaut tresse la science de l’improvisation et l’esprit des cultures hip-hop et électro. Avec d’émérites musiciens : Josef Dumoulin (claviers), Stéphane Kerecki (contrebasse), Fabrice Moreau (batterie) et l’invité Julien Loureau (sax). Un écrin d’air, d’or et de désordre, idéal pour la plume de Ladd qui ausculte les brûlures de l’humanité."

3. Jazz News / Le Tops du Moi - Mathieu Durand - Juin, 2014 
"Ceci n'est pas un disque: c'est un pièce de théâtre enveloppante, c'est un poème sonore ensorcelant, un film pourvoyeur d'images mentales. Pour son premiere disque en leader, Antoine Berjeaut accouche d'une oeuvre hybride au carrefour du rêve et du cauchemar. Porté par le spoken word de l'Américain Mike Ladd, Wasteland se veut aussi jazz et drum'n'bass que hip-hop que ambient. Autour de lui, le jeune trompettiste a réuni l'équipe idéale pour dessiner de tels paysages ciselés: les claviers chimériques de Jozef Dumoulin ou le saxophone habité de Julien Lourau. Avec son titre clin d'oeil à l'immense poème de T.S. Eliot, Wasteland avait placé la barre haute. Et tel Renaud Lavillenie, Antoine Berjeaut a réussi ce premier essai avec maestria."

4. lesdnj.com - Les Dernières Nouvelles du Jazz - Jean-Marc Gelin - Mercredi, 7 mai 2014
"Le jeune trompettiste Antoine Berjeaut qui signe son album chez Fresh Sound New talent a réussi son pari: créer une véritable atmosphère originale, charnelle, faite de groove et de textes poétiques et rudes signés de Mike Ladd.
'Wasteland' est un album sans concession, qui coupe dans le vif et porte avec profondeur des textes et des musiques à la modernité "urbaine". On suit avec attention les longs méandres du trompettiste, tout à l'honneur dans cet album où il fait office de point central d'attention, de véritable pivot. Il y a chez Berjeaut une façon de jouer de manière très apaisée, de tapisser l'espace musical. Totalement dédié à sa musique et sans le moindre souci de mise en valeur égocentrique, Antoine Berjeaut nous projette dans des climats multiples qu'il crée en jouant sur une gamme extrêmement large et variée de son instrument, s'appuyant ici sur des tramages sonores électriques et brumeux, là sur le son de Julien Lourau au ténor, ailleurs sur des volutes du clavier de Dumoulin ou enfin sur les textes de Mike Ladd qui, en parlé chanté nous ouvre sur un monde dur, violent et tourmenté. Les arrangements et l'écriture de cet ensemble sont intéressants, expressifs et presque cinématographiques.
La pulse est toujours présente, sous-jacente, prégnante comme une sorte de cœur battant (Balcony). Et l'ensemble fonctionne bien et accompagne une sorte d'imagerie subconsciente faite de projections imaginaires.
Il est facile de se perdre dans cet univers à la sensualité brumeuse et de faire l’experience de cette plongée en Wasteland."